J'aurais tendance à le dire aux orgas, mais je n'ai jamais été spoiler, ou indirectement, et je ne savais pas nécessairement de quel jeu il s'agissait ... Même que je me suis fais spoiler la valse par Fredou

Oui, ça paraît assez logique de considérer que l'orga est le mieux placé pour savoir si un spoil est grave ou non. Le mieux est de lui en parler, effectivement.Fredou a écrit :Fais confiance aux organisateurs qui ont pensé ces jeux pour savoir comment ils fonctionnent et pourquoi ça n'a éventuellement pas d'intérêt autrement.
J'ai failli ajouter une phrase consensuelle "mais il est évident que ça dépend des jeux", mais je me suis dis que ce serait plus marrant sansFredou a écrit :Jouer malgré un gros spoil ? Tout dépend des jeux, Lucie.
Qu'elle est taquine !J'ai failli ajouter une phrase consensuelle, mais je me suis dis que ce serait plus marrant sans
Simple arithmétique des plaisirs épicurienne, Pascal, dont je fais une philosophie de vie. Même en dehors de toute histoire de spoil, si quelqu'un est susceptible d'y prendre manifestement plus de plaisir que moi, je laisse volontiers ma place.En revanche, décider de ne pas faire un GN spoilé pour laisser la place à quelqu'un qui saura mieux profiter, là je trouve que c'est un peu branlettouille...
Donc dans l'arithmétique épicurienne [1 mesure de plaisir de moi] = [1 mesure de plaisir d'un inconnu] ? C'est inattendu...Fredou a écrit :Simple arithmétique des plaisirs épicurienne, Pascal, dont je fais une philosophie de vie. Même en dehors de toute histoire de spoil, si quelqu'un est susceptible d'y prendre manifestement plus de plaisir que moi, je laisse volontiers ma place.
T'en as faite des mieux, c'est pas grave.Cela dit, au travers de la tentative d'humour (visiblement ratée)
Cette équation n'a aucun sens. D'abord, à part Jeremy Bentham, aucun des grands penseurs de cette arithmétique ne propose une mesure chiffrée du plaisir. Il s'agit avant tout de considérer d'un que le déplaisir se soustrait au plaisir et de deux que le souverain bien consiste à maximiser le second en minimisant le premier. Cela fait dire à Epicure qu'on peut accepter un déplaisir en vue d'un plaisir supérieur, comme renoncer à un plaisir qui entrainerait un gros déplaisir. Je passe sur les types de plaisirs qu'il distingue (cinétique / catastématique), sur l'utile et le nécessaire.[1 mesure de plaisir de moi] = [1 mesure de plaisir d'un inconnu]
C'est quand même limite inhumain non ? Si j'admets volontiers que la doctrine épicurienne implique de distribuer le bonheur autour de soi, je ne crois pas qu'elle implique l'auto-sacrifice.
moi je me suis bidonné. mais je suis un lèche boulesPascal a écrit :la tentative d'humour (visiblement ratée)