Re: QM59 : Mauvais comédien
Posté : sam. 8 déc. 2012 14:54
Ce qui me dérange avant tout c'est de ne pas avoir moi un jeu de parfait comédien, j'ai beaucoup plus d'intransigeance avec moi-même qu'avec les autres joueurs.
Pour ce qui est de jouer avec un GNiste mauvais comédien, on l'est tous et mon âme d'enfant me suffit à voir le personnage s'animer devant mes yeux sans voir les trucages. Je ne suis gêné qu'à partir du stade où son attitude est hors-jeu. Quand au touriste tel que décrit par Bross, il suffit que j'en croise un pour me gâcher le jeu.
Côté casting, je privilégierais toujours un joueur surmotivé qui a les yeux qui pépillent plutôt que l'excellent "technicien" qui se contenterait de délivrer le minimum syndical.
Autant le hors-jeu que le touriste sont de la mauvaise volonté du joueur autant le manque d'écoute est une maladresse inconsciente qui pourrait se corriger assez aisément.
L'erreur du GNiste est de privilégier l'écoute passive, comme une politesse faite à l'autre pour lui offrir la place pour plus de répliques ou de rôleplay.
Alors que l'écoute telle qu'elle est pratiqué dans le théatre d'impro apporte une excellente dynamique en GN. J'ai pu le constater à chaque fois que j'ai joué avec des gens venant de l'impro, débutant en GN. C'est aussi l'une des principales remarques qui est ressorti à l'un des ateliers impro. auquel j'ai participé au GNiales.
Laisser la place à l'impro est difficile de la part de l'orga. on retombe sur la question de la confiance accordé au joueurs. Ainsi que l'attachement de l'orga à son projet et à SA vision du déroulement du jeu.
Pas au point avec la notion de workshop, je l'entends au sens atelier préparatif spécifique à un jeu et ne me parait pas adapté à cet exercice. J'applaudirais plutôt à un article pédagogique de sensibilisation auprès d'un large public comme électroGN...
Pour ce qui est de jouer avec un GNiste mauvais comédien, on l'est tous et mon âme d'enfant me suffit à voir le personnage s'animer devant mes yeux sans voir les trucages. Je ne suis gêné qu'à partir du stade où son attitude est hors-jeu. Quand au touriste tel que décrit par Bross, il suffit que j'en croise un pour me gâcher le jeu.
Côté casting, je privilégierais toujours un joueur surmotivé qui a les yeux qui pépillent plutôt que l'excellent "technicien" qui se contenterait de délivrer le minimum syndical.
Autant le hors-jeu que le touriste sont de la mauvaise volonté du joueur autant le manque d'écoute est une maladresse inconsciente qui pourrait se corriger assez aisément.
L'erreur du GNiste est de privilégier l'écoute passive, comme une politesse faite à l'autre pour lui offrir la place pour plus de répliques ou de rôleplay.
Alors que l'écoute telle qu'elle est pratiqué dans le théatre d'impro apporte une excellente dynamique en GN. J'ai pu le constater à chaque fois que j'ai joué avec des gens venant de l'impro, débutant en GN. C'est aussi l'une des principales remarques qui est ressorti à l'un des ateliers impro. auquel j'ai participé au GNiales.
Laisser la place à l'impro est difficile de la part de l'orga. on retombe sur la question de la confiance accordé au joueurs. Ainsi que l'attachement de l'orga à son projet et à SA vision du déroulement du jeu.
Pas au point avec la notion de workshop, je l'entends au sens atelier préparatif spécifique à un jeu et ne me parait pas adapté à cet exercice. J'applaudirais plutôt à un article pédagogique de sensibilisation auprès d'un large public comme électroGN...