Merci pour ces réflexions.
L'idée de cette méthode c'est de dessiner les contours de la représentation du GN (en francophone). Les notes de 1 à 10 permettent de nuancer. Cela dit, je pourrais laisser un espace de commentaire pour chaque question. C'est peut-être une piste.
Effectivement, certaines personnes pensent que le GN devrait être une activité libre de droit et d'autres pensent le contraire. Et peut-être même que cette question n'est pas pertinente au demeurant.
Pour ma part, j'ai choisi cette question car il me semble qu'elle illustre un débat profond autour du libre accès, de la culture non-marchande et du partage, qui a surgi doucement avec la complexification des GN (scénarii, mécaniques, mises en scènes...), leurs rééditions possibles et les traces qu'ils laissent désormais sur internet -pour ne citer que ça.
Au-delà de cette question, ce qui compte c'est la possibilité de mise en cause.
Je cherche à déterminer ce qui doit absolument être présent pour qu'on appelle ça du GN. Notamment, de façon triviale et somme toute très prévisible, s'il n'y a pas de "rôles" alors ce n'est pas du GN. Quasiment personne n'arrive à penser qu'on puisse faire du GN si on ne joue pas un rôle. Une activité pourrait être immersive, avec de l'impro, des règles, un scénario, mais sans rôle ce ne serait pas du GN. Ce serait autre chose (un crime et cure-dents?).
Les zones plus floues servent à moduler la représentation et peuvent dépendre de pas mal de facteurs: pour certains le GN est lié intrinsèquement au bénévolat. Si c'est pas bénévole... alors il manque quelque chose d'essentiel qui ne dépend pas du contenu, mais du contenant.
Bon, cela dit: si vous avez des idées pour synthétiser ou proposer des thèmes qui n'ont pas été proposés dans cette version.
Note: ça reste une pré-enquête!
