Lila a écrit :De ce que nous en dit Vincent, le but ultime de l'Agonie du Poète est de faire vivre une histoire. Le BUT est donc l'histoire. donc GN narrativiste. Le but d'un GN simulationniste étant de faire vivre un univers, une ambiance, et celui d'un jeu gamiste de relever des challenges. En gros.
Donc,
ça, c'est faux 
. Ou plutôt, c'est utiliser les termes GNS pour décrire quelque chose d'autre que le GNS ^^
Lila a écrit :Je crois que Ron Edwards a différencié dans ses écrits le jeu (à définir par le GNS) de l'attitude à adopter par le joueur durant le jeu.
Et ça,
c'est également faux 
. Ron Edwards décrit les GNS en trois phrases de la manière suivante :
- G = "step on up" (les participants sont là avant tout pour surmonter des challenges)
- N = "story now" (les participants sont là avant tout pour créer une histoire)
- S = "the right to dream" (les participants sont là avant tout pour kiffer un univers cohérent)
Il s'agit bien de ce que font les participants
pendant le jeu. Et pour le narrativisme spécifiquement,
le "now" est important.
Pour aller plus loin, Ron Edwards parle d'ailleurs de "jeu favorisant l'approche narrativiste" (par exemple), et non de "jeu narrativiste", montrant bien que le GNS traite de ce que font les joueurs et non du jeu dans l'absolu.
Je ne dis pas qu'il n'est pas intéressant d'analyser les GN sous un autre angle. Par contre, utilisons d'autres termes, parce que sinon ça embrouille les gens
