Tu ne m'as pas compris.Thomas B. a écrit :Non parce que les plombs sautent quoi que fassent les joueurs. C'est écrit avant le début du jeu, par l'auteur. Et ça ne parle pas du passé donc ce n'est pas de la backstory. Et les joueurs ne sont pas créateurs du fait que les plombs sautent. Seul l'auteur a décidé avant le jeu que les plombs sautaient à 23h. C'est sa création seule à lui tout seul.
Dans ton exemple, les joueurs restent maîtres de leur réaction une fois que les plombs ont sauté. Du coup, le scénario d'ensemble ("les plombs sautent, Mauricette en profite pour assassiner Suzanne tandis que Richard utilise l'obscurité pour besogner Michelle sous la table de la salle à manger") est en partie issu des joueurs, et en partie de l'auteur/designer.
Mais justement, arrêtons de chercher à définir un mot inutile, et contentons-nous de "backstory" pour "ce qui se passe avant le jeu", de "événementiels" pour "ce que les orgas déclenchent pendant le jeu" et de "actions des joueurs" pour... euh, pour "les actions des joueurs".Thomas B. a écrit :Sinon oui, le mot scénario n'est pas idéal. Mais comme ni en anglais ni en français on a trouvé mieux pour l'instant... Bref on n'a pas la même définition, et on arrivera pas à convaincre l'autre, c'est pas grave
Beus a écrit :Le terme de backstory personne ne l'utilise. Sauf les designers d'un blog prétentieux qui fut subversif trois articles.

Bel exercice de votre part à tous les deux (ces définitions ont le mérite d'être claires), mais encore une fois, je maintiens que le terme "scénario" est très rarement utilisé en ce sens.Fredou a écrit :Voilà... Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement.C'est marrant mais moi ce que font les joueurs c'est simplement le "jeu".
Et le scénario c'est ce que je mets en ligne.