
Une consigne disait que, lorsqu'on entendait une musique western, on ne pouvait plus parler ni effectuer d'action rapide, seulement jouer du regard et bouger lentement à la manière d'un film de Sergio Leone. C'était d'autant plus accepté par les joueurs que ça ne servait que lors de la scène d'intro, du final, et d'éventuels duels, sans aucun risque donc de couper les joueurs et de les frustrer dans une action en cours. Une contrainte clairement mais qui apportait finalement plus d'ambiance qu'elle ne pouvait vraiment nuire à la liberté de jeu que je cherche toujours à préserver.
Des jeux très second degré ont des choses un peu équivalentes sur des musiques ou des jingles (comme le topissime BP2 de Guillaume), et ça fonctionne d'autant plus que ce sont souvent des jeux très narrativistes (on y cherche généralement plus à provoquer du fun, qu'à vivre un personnage).