Heu je suis moins sur. Dejà que la troisieme option c'est en fait le choix numero 2 mais sans le dire aux joueurs.
Sauf que selon la communication aux joueurs dans chaque cas (voir le recap de Vincent), on obtient pour une même incidence sur le jeu, des effets différents sur le joueur. D'ailleurs, ta phrase "On ne dit rien sur la mort mais elle est en fait prévue." n'est certainement pas la bonne façon de la mettre en place. La bonne façon, c'est "on dit que le mort est définitive, mais en fait, il n'en est rien."
Pour les solutions suivantes, il s'agit de faire varier les "effets" de la mort, tout en la sachant effectivement impossible (ou du moins improbable). Au fond, ce n'est pas tant la mort qui est intéressante à simuler que la peur de la mort par le frisson qu'elle va donner au joueur. Donc tout en sachant qu'il est dans un GN scénarisé, qu'il ne va probablement pas perdre son personnage au bout de 10 minutes, on peut mettre en place des moyens de le faire trembler quand même.
Qu'on voit ça comme des variantes d'autres cas, je m'en cogne un peu ; ce qui m'intéresse c'est que chacune de ces possibilités aura des effets différents concernant les incidences sur le jeu et les sensations du joueur.
comment faire pour que les joueurs le croient vraiment, et en aient peur ?
D'abord mentir. Ajoute tout un laïus dans tes instructions sur la façon de gérer la mort, expliquant jusqu'au truc le plus sordide qui ne fait pas envie, genre "l'organisateur te fournira un rôle de substitution." Tu peux même en faire des caisses en t'excusant par avance si ces rôles sont moins travaillés.

Ensuite, c'est un peu tout l'art du magicien, attirer l'attention sur la main gauche pendant qu'on manipule de la droite. Plus tu détournes la réflexion du joueur, en lui imposant mentalement une illusion, plus il y croira. Enfin, ça s'use si on en abuse.