Muriel A a écrit : J'avoue, j'ai souri. Malheureusement, il n'y a pas besoin de connaître la théorie GNS ou de savoir mettre les mots dessus pour avoir des comportements relevant du manque d'empathie, de choix pré-formatés ou de la certitude d'avoir raison, sans quoi ce type de décalages seraient effectivement quasiment inexistants.

Yep, très intéressant. En plus j'ai découvert le verbe "to shoehorn" qui décrit bien certaines tendances.Muriel A a écrit : Fun fact. Je relisais l'article de Petter Bøckman sur le sujet (The Three-Way Model: Revision of the Threefold Model) ce matin, et les points discutés sont clairement soulevés. Le fait que les catégories puissent se superposer, que certaines actions puissent être à la fois cohérentes dans le simulationnisme, et satisfaisantes dans le dramatisme, et que, naturellement, toute forme de GN n'avait pas à être intégrée dans le modèle en tant que tel. Plus intéressant, l'introduction rappelle que le modèle a été proposé entre autres dans un soucis de dissiper les controverses sur les "bons" ou "mauvais" joueurs, de montrer que ce type de jugements procèdent d'incompréhensions sur l'approche du jeu considérée.

De fait, la théorie GNS, c'est un peu la préhistoire. Cire, je te conseille de lire l'article de Daniel B. http://www.electro-gn.com/5404-les-styl ... model#more qui montre bien que le GNS mène à tout, à condition de s'en sortir !
