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Re: QM166 : Paidia ou le chaos initial

Posté : lun. 16 févr. 2015 13:45
par kilourh
lucieXperience a écrit :
kilourh a écrit :
En impro, nous sommes en représentation, nous jouons pour un public (quel qu'il soit)
En GN, on joue avant tout pour soi, le but premier n'étant pas la représentation (même si on peut en trouver).
En fait c'est ce que je veux dire par le mot "scène". Le fait de jouer ou non pour un public et qui implique une scénographie, même si elle est minimale et même s'il n'y a pas de scène physique.
On peut envisager une scénographie en GN. J'ai d'ailleurs un projet dans ce sens. Mais sinon je suis plus d'accord avec cette idée de lien avec un public...

Re: QM166 : Paidia ou le chaos initial

Posté : ven. 20 févr. 2015 17:01
par Lila
Hilda Levin (une copine suédoise qui écrit des mémoires sur le jeu de rôle GN) dit que le GN est un art participatif car tous les participants sont à la fois émetteurs et récepteurs. A la différence d'un spectacle ou les rôles sont plus tranchés. Le public étant récepteur (même si sa réception influence le spectacle) et les acteurs émetteurs (bon avec l'auteur, le metteur en scène et le scénographe mais vous voyez l'idée).

Re: QM166 : Paidia ou le chaos initial

Posté : dim. 1 mars 2015 11:09
par kilourh
Ca marche avec le théâtre, un poil moins avec le théâtre d'impro, ou le public influence directement le spectacle puisque c'est lui qui va donner les thèmes par exemple. Et dans certaines catégories, il va même prendre plus d'importance, en donnant des mots que les acteurs devront ajouter à leur conversation, et cela en cours d'impro...

Re: QM166 : Paidia ou le chaos initial

Posté : ven. 6 mars 2015 10:33
par Lila
Oui enfin on reste quand même dans un rôle de récepteur, certes nuancé, mais récepteur quand même.