Re: QM94 : Fête en GN
Posté : jeu. 5 sept. 2013 14:22
Il me semble que c'est moins une question de culture associative que d'adéquation avec le jeu.
J'ai organisé de nombreux GNs med-fan burlesques / BD / humour, avec un penchant festif avéré. C'étaient des jeux d'été, pour 100 à 240 personnes, voulus bon enfant, immersifs, frais. Empêcher les gens de picoler fût contre-productif. Les encadrer quelque peu était toutefois inévitable. Aussitôt qu'un joueur montrait des signes de fatigue, un orga (souvent moi) se chargeait d'intercepter ledit joueur, de le rafraîchir, de le ramener à son dodo pour qu'il retrouve un état compatible avec le jeu. C'était pas méchant, un peu de chaperonnage. Globalement les gens se tenaient déjà bien, ils savaient où ils mettaient les pieds et, SURTOUT, venaient là d'abord pour jouer dans des conditions conviviales, pas pour se mettre minable. Aucun incident à déplorer. Personnellement, surveiller un mec qui fait l'avion tout seul sur un champ de bataille à 5h du mat', ça me fait sourire, même si ça me coûte un peu de sommeil. ça fait partie, à mon sens, du boulot d'orga aussi, même si je comprends que ça puisse gonfler certains. Sans complètement déresponsabiliser les joueurs, l'orga ça reste le capitaine de soirée, le type qui garde la tête froide quand tout le monde s'amuse.
Sur d'autres jeux avec des ambiances radicalement différentes, des consignes assorties d'explications claires encadraient la consommation d'alcool. Je n'ai jamais sanctionné quelqu'un pour ça. Tout au plus un rappel des règles de bonne conduite.
Le bon jeu a toujours été la meilleure prévention de l'ébriété collective ou excessive. Quand les gens s'amusent, ils boivent un coup. C'est quand ils s'ennuient qu'ils se torchent. Commençons par faire de bons jeux, instaurer un climat de confiance et un engouement pour le moment présent.
Fixer des limites, OK. Interdire l'alcool c'est soit un aveu de médiocrité du jeu, soit considérer que les joueurs sont des emmerdeurs putatifs. Dans ces deux cas, mieux vaut ne rien organiser.
J'ai organisé de nombreux GNs med-fan burlesques / BD / humour, avec un penchant festif avéré. C'étaient des jeux d'été, pour 100 à 240 personnes, voulus bon enfant, immersifs, frais. Empêcher les gens de picoler fût contre-productif. Les encadrer quelque peu était toutefois inévitable. Aussitôt qu'un joueur montrait des signes de fatigue, un orga (souvent moi) se chargeait d'intercepter ledit joueur, de le rafraîchir, de le ramener à son dodo pour qu'il retrouve un état compatible avec le jeu. C'était pas méchant, un peu de chaperonnage. Globalement les gens se tenaient déjà bien, ils savaient où ils mettaient les pieds et, SURTOUT, venaient là d'abord pour jouer dans des conditions conviviales, pas pour se mettre minable. Aucun incident à déplorer. Personnellement, surveiller un mec qui fait l'avion tout seul sur un champ de bataille à 5h du mat', ça me fait sourire, même si ça me coûte un peu de sommeil. ça fait partie, à mon sens, du boulot d'orga aussi, même si je comprends que ça puisse gonfler certains. Sans complètement déresponsabiliser les joueurs, l'orga ça reste le capitaine de soirée, le type qui garde la tête froide quand tout le monde s'amuse.
Sur d'autres jeux avec des ambiances radicalement différentes, des consignes assorties d'explications claires encadraient la consommation d'alcool. Je n'ai jamais sanctionné quelqu'un pour ça. Tout au plus un rappel des règles de bonne conduite.
Le bon jeu a toujours été la meilleure prévention de l'ébriété collective ou excessive. Quand les gens s'amusent, ils boivent un coup. C'est quand ils s'ennuient qu'ils se torchent. Commençons par faire de bons jeux, instaurer un climat de confiance et un engouement pour le moment présent.
Fixer des limites, OK. Interdire l'alcool c'est soit un aveu de médiocrité du jeu, soit considérer que les joueurs sont des emmerdeurs putatifs. Dans ces deux cas, mieux vaut ne rien organiser.