Quelle limite ?

[Pascal]

T'inquiète, ça va venir, on va aider...
Sinon +1

[Graziella]

Oui parce que nous n'avons pas encore parler des règles.
Par exemple dans beaucoup de murder, on n'a pas le droit se toucher et le blabla est important alors que dans un mini GN-Huis Clos et les autres, il peut y avoir des règles qui tendent vers l'action (utilisation d'armes par exemple et..).
Graziella

[vincent]

Par exemple dans beaucoup de murder, on n'a pas le droit se toucher

J'ai toujours su que vous étiez trop prudes dans l'ouest !

[Frédou]

Ne refaite pas la querelle nominaliste du moyen-age. Si les principes de jeu sont les mêmes, ce n'est pas une durée, un nombre de joueurs ou une règle de simulation qui viendra discriminer des catégories différentes.

La seule question intéressante est alors "faut-il refuser les scénarii à partir d'une limite quelconque ?" J'ai envie de dire "Pourquoi diable ?" Si le scénario est complet, soigné, s'il contient tous les éléments nécessaires pour le faire jouer et toutes les instructions pour le prendre en main, alors mettez-le.

Mais dans les faits, c'est justement ce travail supplémentaire de structuration et d'instruction des documents (déjà lourd pour un huis-clos, monumental pour un plus gros jeu) qui rendra la démarche relativement exceptionnelle. Mais si certains arrivent à le faire, pourquoi diable s'en priver ? En revanche, si ça consiste à balancer un zip, contenant des fiches de persos, et un gros "démerde-toi" dans un fichier .txt, je doute beaucoup plus de l'intérêt et de la pédagogie de la chose.

[Pascal]

Oui, je crois qu'on a effectivement répondu à la question initiale et qu'on est quasiment tous d'accord pour accueillir tous les formats, du moment que l'oeuvre en vaut la peine.

Après, pour les terminologies des jeux, c'est juste un divertissement, utile peut-être... faut voir. C'est intéressant de découvrir ce que les gens mettent derrière les appellations. Entre ceux pour qui les distinctions se font au volume, à la durée, aux différences de contenu, d'ambiance, etc. En tout cas, il semble improbable qu'on en fasse une quelconque querelle.

[Graziella]

Coucou,

@Vincent, pour la peine, je te réserve un PNJ surprise, j'espère que tu aimes porter les mini jupes léopards

@Fredou, je suis globalement ok avec la discussion initiale. J'aurais dû mettre un petit smiley dans mon post car je ne pense vraiment pas que les règles déterminent si c'est un gn ou huis clos ou autre.

@Pascal, autrement, je suis surprise par le terme semi-réel. Pour moi, il s'applique aux joueurs de vampires. Au final, je trouve cela anecdotique. Je trouve ton résumé en accord avec les tendances actuelles.

@Lucie, je ne pense pas que les Gniales puissent nous aider dans le sens où ça fait parti des débats sans fin (invit', pas invit'? Educ pop? / quelles limites dans les GN? Ca dépend, ça dépasse etc... ) Ce n'est qu'un avis.

Au plaisir,
Graziella

[Frédou]

Désolé, je n'avais pas eu le temps de tout lire.

[lucieXperience]

@Lucie, je ne pense pas que les Gniales puissent nous aider dans le sens où ça fait parti des débats sans fin (invit', pas invit'? Educ pop? / quelles limites dans les GN? Ca dépend, ça dépasse etc... ) Ce n'est qu'un avis.

si c'est sous la forme d'un débat ouvert : "quelles définitions pour quel type de jeux" je pense que c'est pas intéressant et stérile. Si c'est quelqu'un qui décide de faire une conférence sur le problème des définitions et qui propose les siennes en fonction de ses arguments, et ouvrant ensuite la conf' au réactions ça me semble déjà plus intéressant.

Mais dans les faits, je pense que tout le monde s'en fout, que tout le monde a pratiquement les mêmes définitions et que du coup ça risque de faire une conf' mollasse pleine d'idées reçues qui ne fait pas avancer le shmilblick, et en plus peu de gens trouvent un intérêt aux définitions, ce qui est un tort.

[Graziella]

Salut,
Ce que tu dis là Lucie, ça me fait cogiter...

Une conférence sur le sujet peut être pertinente et doit être pour un public ciblé qui n'a ni l'habitude (comme nous qui fréquentons ce forum), ni le savoir faire, ni même la connaissance de l'existence de toute cette diversité de jeux.
En gros, les joueurs de medfan/ vampires qui ont l'habitude de jouer un jeu dans l'année avec la même asso et les mêmes joueurs. La difficulté de cette réflexion c'est que ces joueurs fassent la démarche de venir aux Gniales, ce qui n'est pas encore gagné...
Selon moi, le second public visé peut être aussi le nouveau joueur, ou les personnes du socio culturel curieuse de nous rencontrer et on pourrait même élargir aux professionnels de l'évènementiel qui souhaitent se former pour proposer ce jeu dans leur catalogue. (par contre, ils crachent la thune, eux

Il faut aussi savoir dans quelle position nous (les personnes qui fréquentent ce portail) souhaitons nous mettre.
Soit on fait le célèbre consensus mou et là, il n'y aucune raison de continuer à discuter du propos.
Soit on se met d'accord et on fait notre coming out aux Gniales 2011 en expliquant que nous sommes des personnes qui venons de toute la France et que nous voulons faire la démarche de donner des définitions et que nous sommes ouverts d'esprit pour partager ce débat avant de mettre des définitions aux jeux qui sont proposés dans le monde du GN.
Je vais illustrer ce propos un peu plus loin pour montrer que c'est pas si bête de mettre une définition.
Nous sommes des quatre coins de la France donc personne ne pourra dire que ce sont ces salauds de parisiens qui veulent nous implanter leurs pensées uniques;)
Aenon/shock nar/ Graz=Grand Ouest
Beus, Lucie, Sly, Olivier= Paris
Claire, Juju et Fredou = Grand Sud
Candice=Lyon
Pascal = bi classé Lilles/Lyon
J'ai cru voir Mr Montiage dans les présentations donc l'est est représenté.

Pour illustrer, tous les ans, je me fais des journées salon type : Utopiales, Fête du jeu, portes ouvertes . Bref un contact direct avec le grand public. J'avoue que ces définitions peuvent être utiles pour avoir un discours commun pour les différents intervenants sur un stand. C'est simple d'expliquer ce qu'est le Gn, ce qui est compliqué c'est que les intervenants ne mettent pas les mêmes définitions.
Seconde illustration, quand Mondes Parallèles se fait contacter par une boîte d'événementiel ou même des collectivités, ils ont franchement du mal à nous dire ce qu'ils veulent vraiment et quand nous arrivons à leur faire une proposition ce n'est pas non plus à ce qu'ils s'attendent.

Là je vois mieux la pertinence de donner des définitions. Nullement pour se tripoter entre nous parce que c'est stérile. Mais plutôt se poser la question de pour qui? comment?

Au plaisir,
Graziella,
PS : 5 pages, 5 pages, 5 pages!!!!!!!!

[Pascal]

peu de gens trouvent un intérêt aux définitions, ce qui est un tort.

Ouaip, les définitions c'est bien, ce sont les fondations de la communication. On a tort de croire que ne pas s'encombrer d'une définition est une forme de liberté, en fait c'est juste une forme de flou.

Nullement pour se tripoter entre nous parce que c'est stérile.

D'un autre coté, ça dépend de qui tripote qui... moi je vois un ou deux exemples de tripotage qui ne me déplairaient pas nécessairement.

Ok je